Centre Dauphine
Ouverte en 1973 au coeur d'un îlot insalubre au coeur de la ville historique, ayant successivement abrité un prieuré, un oratoire, une imprimerie, cette galerie commerciale est aussi dotée d'un parking souterrain et d'étages de bureaux. Elle permet le passage entre la rue Bossuet et la rue du Bourg en s'ouvrant sur la rue Dauphine dont elle tire son nom. Son architecture pragmatique ne cache pas la rupture qu'elle crée dans le tissu ancien, notamment le vide dans le front bâti de la rue Bossuet où débouche l'entrée du parking souterrain. La rue Dauphine qui la longe permet un accès latéral. Cet ensemble est typique des opérations de réhabilitation urbaine de la fin des années 1960 qui s'insèrent dans le tissu existant tout en affirmant ses nouveaux usages et sa matérialité.
Les enjeux :
L'ensemble des projets des étudiants est consultable sur la publication Semaine Architecture et patrimoine / Dijon.
Focus sur deux projets :
Les enjeux :
— Donner une cohérence aux espaces publics délaissés
— Valoriser un coeur d'îlot traditionnellement végétalisé
— Réhabiliter et transformer une architecture obsolète
— Valoriser un coeur d'îlot traditionnellement végétalisé
— Réhabiliter et transformer une architecture obsolète
L'ensemble des projets des étudiants est consultable sur la publication Semaine Architecture et patrimoine / Dijon.
Focus sur deux projets :
— Babylone : de l'ombre à la lumière - projet de Clémence Bernigaud / Charline Calullier / Edgar Dolmaire / Charlotte Jung / Capucine Ulsas
— Ilôt des Vignes - projet de Julie Choiselat / Johanna mansuy / Florine Marchal / Margot Roberta
— Ilôt des Vignes - projet de Julie Choiselat / Johanna mansuy / Florine Marchal / Margot Roberta
Projet de Clémence Bernigaud / Charline Calullier / Edgar Dolmaire / Charlotte Jung / Capucine Ulsas
ANALYSE
Le centre commercial Dauphine s'intègre dans un paysage urbain majoritairement piétonnisé et dominé par les commerces. La rue de la Liberté (grand axe commerçant dijonnais) borde cet îlot au nord et la rue du Bourg (axe secondaire) à l'est. Les grands espaces de commerces (comme les Galeries lafayette ou la Fnac) forment de véritables pôles et créent une dynamique qui passe indubitablement à travers le centre Dauphine. Par ailleurs, de manière continue, ce centre commercial souffre d'une baisse de son affluence. Le temps moyen passé au sein de ce bâtiment est de 15 à 45 minutes. Selon de nombreux articles du quotidien régional le Bien public, les locaux commerciaux vacants augmentent et environ 95% des bureaux sont aujourd'hui vides. L'histoire de ce site est indissociable de l'histoire de Dijon. Tout d'abord, l'enceinte originelle de cette ville, son castrum, exclut à sa proche périphérie le site de l'actuel centre Dauphine. Plus tard, et après les travaux de fortifications, l'enceinte du XIIe siècle l'englobe. Le séminaire dit "de l'oratoire" vient ensuite s'implanter au coeur de cet îlot. Malgré les différentes mutations urbaines de Dijon (expansion et densification) cet établissement religieux reste présent. Toutefois, son état de délabrement autorise sa démolition et le projet du centre Dauphine apparaît au début des années 1970. Dijon s'affirme en tant que carrefour entre Paris, Lyon et Strasbourg. La mobilité urbaine est actuellement une priorité. La ville s'évertue à privilégier les transports en commun dans le centre ancien. Cette dynamique s'illustre par la piétonnisation et l'évacuation des parkings du centre ville. Le centre Dauphine bénéficie du réseau complexe composé de lignes de tramways, de bus et de ces zones largement piétonnisées. En plus de cette excellente accessibilité et de sa proximité avec la gare, le centre commercial bénéficie de grands équipements culturels et administratifs. Il convient de souligner que les grands espaces verts restent minoritaires dans ce centre ancien dense.
Le centre commercial Dauphine baigne dans un tissu urbain sauvegardé mais hétéroclite. Tous les immeubles ne sont pas soumis à la même réglementation. Ce climat est à la fois un avantage car il inscrit de manière indirect ce centre dans un tissu à l'attrait historique et touristique. Toutefois, cet environnement protégé reste un frein à de grandes modifications extérieures (esthétiques et fonctionnelles). En somme, et aux regards des différentes analyses vues précédemment, ce site comporte de grands avantages (localisation, accès à l'échelle urbaine, espace disponible...). Le centre Dauphine reste un élément de coeur d'îlot et s'efface parfois dans son paysage urbain. Néanmoins, la tendance actuelle de désertification doit être inversée. De plus, ce secteur impose une gestion fine de la métamorphose de ce bâtiment propice à sa redynamisation. Celle-ci passe par une requalification des accès physiques et de sa visibilité. Par la suite, les espaces intérieurs, de seuils et de transitions doivent se rationaliser.
PROGRAMME
L'attractivité du centre Dauphine peut s'établir sur trois échelles. Il doit tirer parti du potentiel historique de son quartier et devenir une halte touristique. Ce bâtiment doit également retrouver son rayonnement à l'échelle de la ville grâce à la création d'un jardin d'agrément. Il apporte alors un nouveau poumon vert au centre ville. Les commerces qui gravitent autour de cet espace vert sont complémentaires à ceux déjà disponibles dans son voisinage. Enfin, le centre Dauphine doit redevenir un espace fédérateur qui insuffle une nouvelle vie de quartier tournée vers le partage et la conscience environnementale. Comment ce coeur d'îlot peut-il redevenir un haut lieu de la vie dijonnaise ? Face à ces constatations et à la problématique posée, ce lieu accueille le programme suivant :
— au deuxième étage, un espace hybride (lieu ouvert à des projets futurs),
— au premier étage, un espace de coworking, une salle de séminaire et une salle polyvalente,
— au rez-de-chaussée, des commerces, des bars, des restaurants, une Fablab (atelier de création numérique et 3D) et un atelier d'auto-réparation,
— aux sous-sols, un jardin en plein air et un potager souterrain (culture agricole, revalorisation des déchets et stockage).
PROJET
Ce projet vise à réaffirmer une nouvelle identité pour cet îlot. Ce large espace urbain apporte un nouveau dynamisme et un nouvel attrait nécessaire à ce quartier. L'amélioration du cadre de vie s'accentue par l'affirmation de cette rue verte qui connecte la rue du Bourg et la rue Bossuet. On retrouve alors des espaces commerciaux et de restauration à travers une promenade urbaine et paysagère. La trame verte se concrétise par la piétonnisation du parvis Bossuet justifiée par la présence de parkings aux portes du centre ville. Un article publié dans le Dijon Métropole du mois de septembre 2017 présente le projet du nouveau parking situé à Monge. Fin 2018, un parking de 460 places sur cinq niveaux se dressera le long de la voie ferrée. Ce climat est alors propice au développement d'espaces communautaires ouverts aux habitants du quartier et de la ville. L'identité principale de ce projet se révèle être le potager souterrain qui reste un essai architectural sur l'agriculture urbaine de demain. Il investit le volume important de l'actuel parking. Ce dispositif agricole demeure peu énergivore et permet de produire une quantité non négligeable de denrées alimentaires (champignons, endives) en plein centre-ville. Il cherche également à questionner la production agricole verticale en utilisant les espaces disponibles bâtis.
Plan RDC du projet
Vue de la ferme souterraine
Retour
ANALYSE
Le centre commercial Dauphine s'intègre dans un paysage urbain majoritairement piétonnisé et dominé par les commerces. La rue de la Liberté (grand axe commerçant dijonnais) borde cet îlot au nord et la rue du Bourg (axe secondaire) à l'est. Les grands espaces de commerces (comme les Galeries lafayette ou la Fnac) forment de véritables pôles et créent une dynamique qui passe indubitablement à travers le centre Dauphine. Par ailleurs, de manière continue, ce centre commercial souffre d'une baisse de son affluence. Le temps moyen passé au sein de ce bâtiment est de 15 à 45 minutes. Selon de nombreux articles du quotidien régional le Bien public, les locaux commerciaux vacants augmentent et environ 95% des bureaux sont aujourd'hui vides. L'histoire de ce site est indissociable de l'histoire de Dijon. Tout d'abord, l'enceinte originelle de cette ville, son castrum, exclut à sa proche périphérie le site de l'actuel centre Dauphine. Plus tard, et après les travaux de fortifications, l'enceinte du XIIe siècle l'englobe. Le séminaire dit "de l'oratoire" vient ensuite s'implanter au coeur de cet îlot. Malgré les différentes mutations urbaines de Dijon (expansion et densification) cet établissement religieux reste présent. Toutefois, son état de délabrement autorise sa démolition et le projet du centre Dauphine apparaît au début des années 1970. Dijon s'affirme en tant que carrefour entre Paris, Lyon et Strasbourg. La mobilité urbaine est actuellement une priorité. La ville s'évertue à privilégier les transports en commun dans le centre ancien. Cette dynamique s'illustre par la piétonnisation et l'évacuation des parkings du centre ville. Le centre Dauphine bénéficie du réseau complexe composé de lignes de tramways, de bus et de ces zones largement piétonnisées. En plus de cette excellente accessibilité et de sa proximité avec la gare, le centre commercial bénéficie de grands équipements culturels et administratifs. Il convient de souligner que les grands espaces verts restent minoritaires dans ce centre ancien dense.
Le centre commercial Dauphine baigne dans un tissu urbain sauvegardé mais hétéroclite. Tous les immeubles ne sont pas soumis à la même réglementation. Ce climat est à la fois un avantage car il inscrit de manière indirect ce centre dans un tissu à l'attrait historique et touristique. Toutefois, cet environnement protégé reste un frein à de grandes modifications extérieures (esthétiques et fonctionnelles). En somme, et aux regards des différentes analyses vues précédemment, ce site comporte de grands avantages (localisation, accès à l'échelle urbaine, espace disponible...). Le centre Dauphine reste un élément de coeur d'îlot et s'efface parfois dans son paysage urbain. Néanmoins, la tendance actuelle de désertification doit être inversée. De plus, ce secteur impose une gestion fine de la métamorphose de ce bâtiment propice à sa redynamisation. Celle-ci passe par une requalification des accès physiques et de sa visibilité. Par la suite, les espaces intérieurs, de seuils et de transitions doivent se rationaliser.
PROGRAMME
L'attractivité du centre Dauphine peut s'établir sur trois échelles. Il doit tirer parti du potentiel historique de son quartier et devenir une halte touristique. Ce bâtiment doit également retrouver son rayonnement à l'échelle de la ville grâce à la création d'un jardin d'agrément. Il apporte alors un nouveau poumon vert au centre ville. Les commerces qui gravitent autour de cet espace vert sont complémentaires à ceux déjà disponibles dans son voisinage. Enfin, le centre Dauphine doit redevenir un espace fédérateur qui insuffle une nouvelle vie de quartier tournée vers le partage et la conscience environnementale. Comment ce coeur d'îlot peut-il redevenir un haut lieu de la vie dijonnaise ? Face à ces constatations et à la problématique posée, ce lieu accueille le programme suivant :
— au deuxième étage, un espace hybride (lieu ouvert à des projets futurs),
— au premier étage, un espace de coworking, une salle de séminaire et une salle polyvalente,
— au rez-de-chaussée, des commerces, des bars, des restaurants, une Fablab (atelier de création numérique et 3D) et un atelier d'auto-réparation,
— aux sous-sols, un jardin en plein air et un potager souterrain (culture agricole, revalorisation des déchets et stockage).
PROJET
Ce projet vise à réaffirmer une nouvelle identité pour cet îlot. Ce large espace urbain apporte un nouveau dynamisme et un nouvel attrait nécessaire à ce quartier. L'amélioration du cadre de vie s'accentue par l'affirmation de cette rue verte qui connecte la rue du Bourg et la rue Bossuet. On retrouve alors des espaces commerciaux et de restauration à travers une promenade urbaine et paysagère. La trame verte se concrétise par la piétonnisation du parvis Bossuet justifiée par la présence de parkings aux portes du centre ville. Un article publié dans le Dijon Métropole du mois de septembre 2017 présente le projet du nouveau parking situé à Monge. Fin 2018, un parking de 460 places sur cinq niveaux se dressera le long de la voie ferrée. Ce climat est alors propice au développement d'espaces communautaires ouverts aux habitants du quartier et de la ville. L'identité principale de ce projet se révèle être le potager souterrain qui reste un essai architectural sur l'agriculture urbaine de demain. Il investit le volume important de l'actuel parking. Ce dispositif agricole demeure peu énergivore et permet de produire une quantité non négligeable de denrées alimentaires (champignons, endives) en plein centre-ville. Il cherche également à questionner la production agricole verticale en utilisant les espaces disponibles bâtis.
Plan RDC du projet
Vue de la ferme souterraine
Retour
Projet de Julie Choiselat / Johanna mansuy / Florine Marchal / Margot Roberta
ANALYSE
Dijon est une métropole qui se situe entre Lyon et Paris. Son histoire remonte à l'antiquité où elle regroupait un cours d'eau au-delà du castrum et quelques édifices religieux. Au début du XVIIIe siècle, alors que la ville s'étend de plus en plus, un premier édifice religieux s'implante dans l'îlot qui est à cette époque traversé par le Suzon. A la fin du XVIIIe siècle, un oratoire se développe intégrant des cours et jardins. Au XIXe siècle, l'îlot est marqué par un parcellaire en lanières au coeur desquelles on trouve quelques parcelles beaucoup plus larges qui vont se densifier de manière importante avec le centre Dauphine de nos jours. Nous avons pu constater que la logique d'implantation des centres commerciaux dans les années 1970 était de démolir pour s'implanter à la place alors que pour le cas présent, l'architecte Guy Nicot, dans le cadre du secteur sauvegardé, a inséré le projet au centre de l'îlot. Par rapport à la ville, le secteur est bien desservi et entouré de différents bâtiments ou équipements culturels. La superficie du coeur d'îlot est d'environ 6350 m². Nous avons relevé la présence de commerces en abondance tout autour prouvant que la zone est intéressante. De plus quatre accès sont disponibles pour le centre. De cette façon, les flux piétons sont relativement importants sur le pourtour tandis que la rue Dauphine est plus délaissée. Concernant sa constitution, la végétation est peu présente et par le vide et le plein nous montrons en effet que l'îlot est sur-densifié. Nous voyons bien que le bâtiment est totalement enclavé et qu'il génère des espaces étouffants au coeur. De plus, l'architecture monumentale est inadaptée au lieu et devient invisible. les entrées sont désuètes, certaines sont trop étroites et d'autres empiètent sur le parcellaire privé. en s'inscrivant dans cet îlot, le bâtiment a de plus creusé le front bâti, laissant des pignons aveugles. par ailleurs, les utilisateurs et riverains trouvent le centre dépassé, surtout depuis l'arrivée du tram qui permet un accès facile à la Toison d'Or.
PROGRAMME
Nous avons ainsi défini différents objectifs : apporter des commerces aux entrées pour offrir une meilleur visibilité, réinvestir le parking qui est aujourd'hui inutilisable, libérer le coeur d'îlot pour y créer un espace public plus agréable, redéfinir les zones privées qui sont mal délimitées et mal réparties voire inexistantes, créer un puits de lumière qui permettrait de réinvestir le parking, conserver les cheminements (axes) et traiter les pignons aveugles.
PROJET
Nous avons pour cela imaginé un programme en relation avec la tradition locale du vignoble qui consisterait en une cave / dégustation, un restaurant / bar, des commerces et surtout un espace vert public. Pour conserver les axes, nous proposons que le cheminement se fasse en passant sous des bâtiments commerciaux qui signaleraient les entrées dans l'îlot. Pour restituer un coeur d'îlot, agréable à vivre et aéré, nous garderions seulement une partie du garage actuel. un vide exploitable serait créé au centre entouré par de nouveaux bâtiments qui répartiraient mieux les espaces publics / privés et redonneraient des jardins aux habitations. Un de ces bâtiments comprendrait l'accueil et l'accès au nouveau sous-sol culturel. le coeur d'îlot serait ainsi complètement réhabilité offrant un espace très végétal et accueillant.
Plan masse
Insertion des nouveaux bâtiments aux deux entrées
Perspective du coeur d'îlot
Retour
ANALYSE
Dijon est une métropole qui se situe entre Lyon et Paris. Son histoire remonte à l'antiquité où elle regroupait un cours d'eau au-delà du castrum et quelques édifices religieux. Au début du XVIIIe siècle, alors que la ville s'étend de plus en plus, un premier édifice religieux s'implante dans l'îlot qui est à cette époque traversé par le Suzon. A la fin du XVIIIe siècle, un oratoire se développe intégrant des cours et jardins. Au XIXe siècle, l'îlot est marqué par un parcellaire en lanières au coeur desquelles on trouve quelques parcelles beaucoup plus larges qui vont se densifier de manière importante avec le centre Dauphine de nos jours. Nous avons pu constater que la logique d'implantation des centres commerciaux dans les années 1970 était de démolir pour s'implanter à la place alors que pour le cas présent, l'architecte Guy Nicot, dans le cadre du secteur sauvegardé, a inséré le projet au centre de l'îlot. Par rapport à la ville, le secteur est bien desservi et entouré de différents bâtiments ou équipements culturels. La superficie du coeur d'îlot est d'environ 6350 m². Nous avons relevé la présence de commerces en abondance tout autour prouvant que la zone est intéressante. De plus quatre accès sont disponibles pour le centre. De cette façon, les flux piétons sont relativement importants sur le pourtour tandis que la rue Dauphine est plus délaissée. Concernant sa constitution, la végétation est peu présente et par le vide et le plein nous montrons en effet que l'îlot est sur-densifié. Nous voyons bien que le bâtiment est totalement enclavé et qu'il génère des espaces étouffants au coeur. De plus, l'architecture monumentale est inadaptée au lieu et devient invisible. les entrées sont désuètes, certaines sont trop étroites et d'autres empiètent sur le parcellaire privé. en s'inscrivant dans cet îlot, le bâtiment a de plus creusé le front bâti, laissant des pignons aveugles. par ailleurs, les utilisateurs et riverains trouvent le centre dépassé, surtout depuis l'arrivée du tram qui permet un accès facile à la Toison d'Or.
PROGRAMME
Nous avons ainsi défini différents objectifs : apporter des commerces aux entrées pour offrir une meilleur visibilité, réinvestir le parking qui est aujourd'hui inutilisable, libérer le coeur d'îlot pour y créer un espace public plus agréable, redéfinir les zones privées qui sont mal délimitées et mal réparties voire inexistantes, créer un puits de lumière qui permettrait de réinvestir le parking, conserver les cheminements (axes) et traiter les pignons aveugles.
PROJET
Nous avons pour cela imaginé un programme en relation avec la tradition locale du vignoble qui consisterait en une cave / dégustation, un restaurant / bar, des commerces et surtout un espace vert public. Pour conserver les axes, nous proposons que le cheminement se fasse en passant sous des bâtiments commerciaux qui signaleraient les entrées dans l'îlot. Pour restituer un coeur d'îlot, agréable à vivre et aéré, nous garderions seulement une partie du garage actuel. un vide exploitable serait créé au centre entouré par de nouveaux bâtiments qui répartiraient mieux les espaces publics / privés et redonneraient des jardins aux habitations. Un de ces bâtiments comprendrait l'accueil et l'accès au nouveau sous-sol culturel. le coeur d'îlot serait ainsi complètement réhabilité offrant un espace très végétal et accueillant.
Plan masse
Insertion des nouveaux bâtiments aux deux entrées
Perspective du coeur d'îlot
Retour